☕️ Journal : Consentement sexuel et victimisation

En marge du festival l’allumette s’est tenue une projection sur le consentement sexuel, en mixité. Les témoignages du documentaire sexe sans consentement sont effarants, chez les mecs et chez les filles.

Deux remarques liées ont émergé pendant après le visionnage : si on s’embrasse, c’est que ça appelle implicitement à davantage — on n’embrasse pas pour rien, ce n’est pas sans signification ; et si on ne dit pas “oui”, ce n’est pas un “non”. C’était justement l’objet du documentaire, la zone grise : le consentement doit être explicite et pas forcé (l’inverse des popups sur le consentement à la collecte des données…).

À un autre moment, une personne s’est exclamée que c’était abusé qu’on se tourne toujours vers lui pour les activités de manutention, porter les courses — parce qu’il est un garçon. En lui demandant pourquoi il ne verbalisait pas cette gêne — cette absence de consentement — il a répondu que c’était dur de dire “non”.

CQFD.