☕️ Journal : Chantage affectif
J’ai confondu « chantage affectif » avec « manque d’estime de soi » pendant longtemps. Le chantage affectif venait toucher la corde du « t’es pas assez bien ».
J’ai depuis travailler à conscientiser mes limites, mon rapport à la perte.
Un de ces ressors du chantage affectif est la honte, possiblement déguisée sous forme de bienveillance coercitive.
Est-ce qu’une seule réponse possible est attendue ? (pas de recherche ni d’intérêt au consentement)
Est-ce que la demande se fait au détriment de mes propres besoins — psychologiques ou physiologiques ? (ne pas avoir faim, demander à l’autre de manger)
Est-ce que la notion de « faire plaisir » sert à échapper au sentiment de honte, ou c’est une intention non-suggérée ?